Vous trouverez dans cette catégorie mes réflexions diverses et variées ;
tous les articles que je peux écrire sans prise de tête, pour le plaisir de m’exprimer ;
ainsi que les nouveautés concernant le site internet ou ayant attrait à ma vie privée. Bonne lecture !
Je me faisais cette réflexion sous la douche : et si cet éclat, cette pureté qui irradie des plus grands maîtres venait en fait de leur vulnérabilité ?
Je repensais à Mère en fin de vie : vulnérable, comme un petit bout de vieille dame ; et pourtant un tel sourire, un tel regard, un tel amour.
Et s’il fallait que le corps se fissure, se morcelle, s’efface même parfois pour laisser passer les rayons de notre soleil intérieur ? Et si cet état de vulnérabilité – la parfaite acceptation de tout ce qui est et de tout ce qui se présente sur le chemin, même la souffrance ou l’injustice – était en fait la vraie force, le dernier rideau à lever ?
Pour que la lumière passe – crue, nette, vraie.
Une rétrospective sur mes ombres et mes lumières. Une fois encore, je te perds de vue.
Je me demande parfois comment les autres animaux terrestres perçoivent le monde. Savent-ils différencier ce que nous humains appelons un « être vivant » d’un « objet inanimé » ? Et quand cet « objet inanimé » s’anime soudainement par un miracle technologique ou sous les lois de la nature, que se passe-t-il ? Perçoivent-ils nos motos comme ils percevaient nos chevaux ? Sinon la taille, le bruit ou la vitesse, y a-t-il autre chose dans leur vision qui les sépare ?
Un éclat solaire dans le cœur de la vie, un regard et une souffle silencieux, peut-être. Mais toute matière n’a-t-elle pas, pour qui sait le voir, ce soleil, ce souffle et ce regard ?
C’est fou ce que le sentiment amoureux est unique. Un élan du cœur, qui s’emballe et se met à courir vers ses lendemains ; les mains moites ; dans le regard, le brasier tranquille, celui-là même qui vous fait transpirer à grosse gouttes ; et le sourire franc, authentique, qui laisse parfois place – non sans retenue – à un rictus incontrôlable. C’est à la fois beau et misérable. Et cela fait du bien de ressentir à nouveau cet appel d’air, ce souffle sincère ; et c’est en même temps effrayant de ne pas le contrôler – il s’élance, danse, persévère, perce et vit.
Quelques notes écrites à moi-même entre ici et là-bas. Un partage.
« On dit souvent des forêts qu’elles sont les poumons de la terre. […] Mais si c’est aux arbres que l’on doit l’immense chance de survivre, c’est autre chose qui nous permet de vivre pleinement. »
Les poèmes écrits ces deux dernières années auront bientôt tous été publiés… Et ensuite ?
Deux petites nouvelles dont je voulais vous informer !
Quelques notes à moi-même, écrites sur le coin d’une feuille.
Dans quel ordre les poèmes écrits cette dernière année seront-ils publiés ? Pourquoi seront-ils sombres ?
Quelques mots pour expliquer les couleurs que prendra la suite de l’aventure…
Un article pour introduire la nouvelle version de ce site internet, le paysage de ma vie cette dernière année, tant au-dedans qu’au-dehors ; et les jours qui se lèvent enfin !
Quelques mots sur le monde de la recherche académique et institutionnelle. Et après ?
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