Pétales s’envolent, légers comme la brume !
Se dressent, font face, vaines actions !
Broyées, se consument ; cendres obscures !
Se meurent, demeurent ; c’est la mort-déception.
Ce poème, qui est davantage un test qu’autre chose, se base sur la similitude entre deux mots que j’ai voulu exploiter avec une certaine violence.
Cocon de lumière par nos soins fut tissé,
Loin des nuisances modernes sur les eaux reflétées.
Lueurs diluées, glisse la brume,
Silence paisible, nuances voilées.
Iridescents artifices dans les cieux se consument,
Dans un éclat s’évanouissent mais dans les âmes demeurent.
Ayant un rythme très différent de mes autres poèmes, cet écrit assez court raconte schématiquement le périple d’une renaissance. Écriture automatique, comme souvent.
Gronde le tonnerre car les mémoires remontent,
Bousculent ma vie, mes schémas, mes pensées,
Émerge la lumière ! Il me faut Transmuter
Et dans l’Amour préparer des ténèbres la fonte.
Ce poème, articulé en plusieurs chapitres, a été écrit en deux temps (fin 2010 et avril 2013). Ce qui explique la différence de style entre le début et la fin.
Les bras de ce monde m’enlacent enfin ;
Douceur, tu me conquiers ! et le bonheur en mon sein
Me murmure son Amour ; indubitable Évidence,
Comment ai-je pu douter de ta sublime existence ?!
Errance infinie ;
Dans l’ombre, je vis
Sous l’abîme les lueurs.
Le gouffre béant en mon âme s’agrandit
Tandis que je grandis dans un monde sans couleurs
Qui prône le Mal et nous confine dans l’oubli,
Gardant le contrôle en nous noyant dans l’erreur.
Pleine de lumière,
Tu embrasses le vivant ;
Mère de tous les temps.
Petit texte inspiré d’un texte de la rappeuse française Keny Arkana. Écriture automatique.
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