• Écriture
    • Poésie
    • Prose
    • Éphémergences
    • Lectures audio
  • Blog & pensées
  • Massage
  • Newsletter
  • À propos
    • Qui suis-je ?
    • Pour réutiliser mes œuvres
    • Contactez-moi
    • Crédits et remerciements
    • Archives d’écriture

Merci !

Merci pour votre présence et votre lecture ! J’espère de tout cœur que les quelques fragments de vie que je partage ici sauront vous toucher, ou trouver une forme de résonance en vous. Et que ces quelques échos sauront créer un dialogue entre nos âmes.

Abonnez-vous à ma newsletter

Sélectionner une ou plusieurs listes :

Merci de vous être abonné à ma newsletter ! Vérifiez votre boîte de réception ou vos courriers indésirables afin de confirmer votre abonnement.

Suivez-moi sur Facebook

Derniers tweets

Tweets by MaelShanti

Archives mensuelles

Envie d’en savoir plus, ou d’échanger avec moi ? N’hésitez pas à me contacter !

Om namo bhagavate ॐ

 

Menu
Maël Shanti

Maël Shanti

« De grâce et d'absence. »
  • Écriture
    • Poésie
    • Prose
    • Éphémergences
    • Lectures audio
  • Blog & pensées
  • Massage
  • Newsletter
  • À propos
    • Qui suis-je ?
    • Pour réutiliser mes œuvres
    • Contactez-moi
    • Crédits et remerciements
    • Archives d’écriture
  • Écriture, Poésie

    Je n’ose plus trop

    « Je n’ose plus trop écrire ce que je vois. Mettre des mots, c’est dénaturer. »

    Par Maël Shanti le 7 décembre 2019
  • Ce n’est pas que je ne veuille plus écrire. Je ne sais juste plus le faire sans crainte. Je ne veux pas prendre le risque d’abîmer le peu de vie vraie, nue, fragile et délicate qui me soit offerte, et que je garde à l’abri dans le creux de ma main. Cette vie-là, elle n’a pas besoin de la trace de mes pas.

    Écrire, c’est une manière détournée de dire « je » dans un monde où rien de cela n’existe. Aucun mot ne saurait qualifier ce qui existe vraiment.

    On ne peut décemment décrire ou nommer Cela.

    Par Maël Shanti le 7 décembre 2019
  • Écriture, Lumières, Poésie

    De toute ma vie

    « De toute ma vie, je n’ai aimé qu’une seule personne. J’aurais aussi pu écrire : de toute ma vie, je n’ai manqué de l’amour que d’un seul être. C’est pareil. »

    Par Maël Shanti le 6 décembre 2019
  • Tu manques à ma vie comme la vie me manque : terriblement. Il y a une solitude et une absence tout au fond, réveillées par tout au monde. Il y a donc de la place, aussi, pour accueillir le Divin.

    Dieu, c’est un savant mélange fait de ton sourire, d’un bleu myosotis et d’un pli dans l’étoffe du silence. Il est partout – sauf quand je ne le vois pas.
    Dieu, c’est une image créée par ma conscience pour donner sens.

    Vivre, c’est un acte de foi.

    Par Maël Shanti le 29 novembre 2019
  • Une soirée avec mes pairs. L’impression de perdre mon temps, d’être comme un étranger au monde. En moi, quelques mouvements se confondent : l’envie de me lever, d’aller vers ma nuit ; et l’impression que je vais louper quelque chose si je coupe court aux platitudes échangées. Cette soirée, c’était surtout ça : quelques artifices pour combler le vide, des histoires racontées pour ne pas voir, quelques coups de brasse par peur de couler, de plonger, d’explorer ce qu’il y a au-dedans, tout au fond.
    C’est dans ces moments où je me sens étranger que je suis le plus proche de moi.

    Par Maël Shanti le 29 novembre 2019
  • Notre existence, elle mène toujours à ça : retrouver un peu d’enfance, un peu de cette vie vraie, vulnérable et pourtant si vibrante de nos premiers babillages. Regarder passer les nuages et s’émerveiller à chaque instant. Chanter, danser, avoir la joie pour seul vêtement. En deux mots : aimer vraiment.

    Par Maël Shanti le 28 novembre 2019
  • L’amour, c’est la plus maigre chose au monde. Elle s’engouffre partout, cette matière : même la poussière n’est faite que de ça. Il n’y a pas plus fragile et plus délicat. Vivre, c’est un peu piétiner cet amour-là ; pourtant, dans ce pied qui vient écraser ou caresser cet amas de poussière, il a aussi de l’amour. En vérité : il n’y a que de ça. De l’amour en mouvement, en danse, comme une lumière jamais éteinte dont les teintes chatoient comme un éclat de chatouilles au soleil. Une mère veille.

    Par Maël Shanti le 28 novembre 2019
  • Écriture, Lumières, Poésie

    Ce que tu es

    « Le silence, c’est peut-être un moyen pour toi de me dire ce que tu es. »

    Par Maël Shanti le 27 novembre 2019
  • Si le Divin est partout, alors quand un choix s’offre à moi il n’y a pas de réponse « juste ». Tous les chemins mènent à Dieu, aucun n’est « meilleur », n’est « bon » ou « mauvais ». Tous sont, tout simplement. Le seul choix qui s’offre à nous, en vérité, c’est de sentir où souffle le vent, et de se laisser porter par l’instant. Il n’y a rien d’autre que nous puissions faire.

    Par Maël Shanti le 25 novembre 2019
  • Écriture, Poésie

    Tu es sur le départ

    « Je ne sais pas trop ce que ça me fait, de te savoir sur le départ. Je crois que même si j’essaie de me convaincre du contraire, ça crée comme un vide dans l’existence. »

    Par Maël Shanti le 21 novembre 2019
  • Quand j’ai appris ton départ, j’ai d’abord eu cette peur panique de n’aller plus nulle part, de manquer de quelque chose – ton regard ou ta voix, peut-être. Un peu peur pour toi, aussi : que la lumière que tu arbores se ternisse, se décorpore. Puis nous avons partagé. Quelques regards échangés à la lueur d’une bougie, dans ce jardin où tu t’étais d’abord mise à nu. Ce sourire qu’a ta vie, il fait fondre mes peurs comme la glace en été.

    Par Maël Shanti le 17 novembre 2019
  • L’exploration de mes vides et de mes pleins continue. Comment ne pas agir à partir de la part manquante, pour vivre sans retenue ? Un voyage dans l’inconnu – ou dans le connu véritable, qu’on oublie à l’heure de ses premiers cartables et même avant, au tout début.

    Quand on naît, il y a séparation. C’est la première joie et la première blessure. Toutes les suivantes en découlent – même celles qui ne se disent pas, emmurées tout au fond. En chacun de nous, il y a ce mausolée de silence où le verbe est défendu. Un peu de vérité crue, que l’on ne peut habiller sans se mettre à nu.

    Au fond de l’abîme, quelques lueurs habitées.

    Par Maël Shanti le 15 novembre 2019
  • ‹ Previous
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • Next ›
  • Last »
  • Page 5 of 16

Crédits & remerciements • Mentions légales & Confidentialité
Maël Shanti Vidal, 2014-2021. Ce site web et son contenu sont sous licence CC BY-NC-SA 4.0 (c'est-à-dire ?)