La vie s’écoule et navigue l’humain
Sur l’éternelle rivière qui nulle digue n’atteint,
A la recherche continue du sempiternel bonheur
Qui oublie toute larme et efface les pleurs.
Mais sans foi ni lumière, leur vide regard
Ne sait constater que du but ils s’égarent,
Que leur esprit ravageur à la perte les conduit,
Démolissant cette Terre, dont résonnent les cris.
Un court poème qui contraste avec ce que j’écris d’habitude. Dans l’ombre qui est la tienne.
Mère Nature est toute puissante, éternelle souveraine
Qui soigne les maux et bénit les espoirs.
Mais trop longtemps ignorée, torturée dans le noir,
Elle se lève, se révolte ; fils du Ciel ! quitte ta haine,
Et aide ta protectrice à terrasser l’assaillant
Qui, sans foi ni raison, a défié tes parents !
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Maël Shanti Vidal, 2014-2021. Ce site web et son contenu sont sous licence CC BY-NC-SA 4.0 (c'est-à-dire ?)
Je viens de remarquer que sur ce viiiieux poème, un grand problème de nombre (singulier/pluriel) se pose puisque « l’humain » devient « ils »… :'(
Ah certes, mais tu peux edit, vu que les pronoms et les accords permettent de ne pas déséquilibrer les syllabes. Par contre, niveau sonorités, je ne peux pas te l’assurer…
Ce poème est très fluide, comme une balade sur la rivière, à part peut-être ce vers-ci qui l’est un peu moins « A la recherche continue du sempiternel bonheur » >.<
Je ne sais pas pourquoi, mais je lisais "sempiternel" : "septentrional" Oo
Merci pour le commentaire :)
Et c’est vrai, mais le poème est vieux donc j’en ressens pas forcément l’envie. On verra si un de ces 4 je veux le remettre au goût du jour ! :)
Comme tu dis, le vers est lourd… J’ai eu une période où j’utilisais beaucoup « sempiternel », va savoir pourquoi xD
Comme tu l’as dit toi-même, il y a un problème singulier/pluriel, mais je dirais que ce n’est pas ce qui m’a marqué.
Le poème en lui-même est d’une belle fluidité, rien à redire de ce côté. Juste, au niveau du sens dans les deux premiers vers. (selon, le sens ou une erreur grammaticale).
Le « qui » du deuxième vers semble renvoyer à l’humain, puisqu’il fait suite au premier vers sans aucune ponctuation. S’il renvoie à la rivière, tu peux soit le remplacer par « que » – mais ça change le sens – soit placer un élément de ponctuation comme un tiret par exemple
(La vie s’écoule et navigue l’humain
Sur l’éternelle rivière – qui nulle digue n’atteint, )
Dans l’ensemble, un joli poème tout de même, mais on voit clairement une évolution dans les écris qui le suivent.