Merci !
Merci pour votre présence, votre lecture, vos commentaires : puissions-nous tous vivre sous l'égide de la joie et de ses aléas !
Voilà l’activité créative que je pratique le plus, à mes heures perdues ou retrouvées.
Ça vous plaît ? C’est trop pompeux ? Vous vous dites « ouah, quel talent ! » ou « bof, j’ai vu mieux » ?
Exprimez-vous dans les commentaires, faites-le moi savoir ! En bref : dialoguons.
Quel est donc ce vide
Qui remplit l’âme
Comme un délice d’Ailleurs ?
Un court poème qui contraste avec ce que j’écris d’habitude. Dans l’ombre qui est la tienne.
Un regard ouvert,
Silence qui se perd
Dans l’absolu le plus simple.
Qu’il est bon de se savoir libres lorsque
Déliés de toute chaîne
On entre dans la cage.
Un petit texte en prose sur le faux, l’envers du faux, son opposé et l’inverse de son contraire.
L’attente monotone pour briser je chantonne
Et je tonne et j’entame des vers qui s’étonnent,
Qui se fuient, se poursuivent et disent oui à la Vie,
Qui s’ensuivent, se suivent et mon coeur ont ravi.
Un poème versifié mais sans rimes écrit dans le métro, qui retranscrit mon émotion du moment et atteint avec brio le point Godwin.
Baigné dans l’amer et touchant presque le fond
Je pris une bouffée de ce que je pensais oxygène
Pour me noyer.
Sous l’encre se dévoile une voile qui lève l’ancre,
Voyageuse se mouvant à la force des vents,
Embarquée sur les flots ; le rafiot hébergeant
Les espoirs éperdus d’un passager clandestin.
Pétales s’envolent, légers comme la brume !
Se dressent, font face, vaines actions !
Broyées, se consument ; cendres obscures !
Se meurent, demeurent ; c’est la mort-déception.
Ce poème, qui est davantage un test qu’autre chose, se base sur la similitude entre deux mots que j’ai voulu exploiter avec une certaine violence.