Merci !
Merci pour votre présence et votre lecture ! J’espère de tout cœur que les quelques fragments de vie que je partage ici sauront vous toucher, ou trouver une forme de résonance en vous. Et que ces quelques échos sauront créer un dialogue entre nos âmes.
Je viens de remarquer que sur ce viiiieux poème, un grand problème de nombre (singulier/pluriel) se pose puisque « l’humain » devient « ils »… :'(
Ah certes, mais tu peux edit, vu que les pronoms et les accords permettent de ne pas déséquilibrer les syllabes. Par contre, niveau sonorités, je ne peux pas te l’assurer…
Ce poème est très fluide, comme une balade sur la rivière, à part peut-être ce vers-ci qui l’est un peu moins « A la recherche continue du sempiternel bonheur » >.<
Je ne sais pas pourquoi, mais je lisais "sempiternel" : "septentrional" Oo
Merci pour le commentaire :)
Et c’est vrai, mais le poème est vieux donc j’en ressens pas forcément l’envie. On verra si un de ces 4 je veux le remettre au goût du jour ! :)
Comme tu dis, le vers est lourd… J’ai eu une période où j’utilisais beaucoup « sempiternel », va savoir pourquoi xD
Comme tu l’as dit toi-même, il y a un problème singulier/pluriel, mais je dirais que ce n’est pas ce qui m’a marqué.
Le poème en lui-même est d’une belle fluidité, rien à redire de ce côté. Juste, au niveau du sens dans les deux premiers vers. (selon, le sens ou une erreur grammaticale).
Le « qui » du deuxième vers semble renvoyer à l’humain, puisqu’il fait suite au premier vers sans aucune ponctuation. S’il renvoie à la rivière, tu peux soit le remplacer par « que » – mais ça change le sens – soit placer un élément de ponctuation comme un tiret par exemple
(La vie s’écoule et navigue l’humain
Sur l’éternelle rivière – qui nulle digue n’atteint, )
Dans l’ensemble, un joli poème tout de même, mais on voit clairement une évolution dans les écris qui le suivent.